dimanche 15 janvier 2012
Mort de José Monteiro, délégué CGT chez Still Montataire.
Mercredi 16 novembre 2011
J'apprends à l'instant la mort d'une crise cardiaque de José Monteiro, délégué CGT au CHST chez Still Montataire et l'un des principaux animateurs de la lutte contre la fermeture de l'entreprise où il avait travaillé toute sa vie. Il avait 56 ans.
Les salariés ont cessé le travail à l’annonce de la terrible nouvelle et mis en berne les drapeaux devant l’usine.
Ceux qui veulent liquider cette usine pour leurs intérêts financiers portent la responsabilité de sa mort par le stress imposé aux salariés depuis ce mois de juillet où est tombé la terrible annonce de la volonté de fermeture du site. La loi du fric tue les hommes.
José militant syndical actif depuis toujours n'avait pas ménagé son engagement et son énergie dans la lutte menée depuis 6 mois.
Il sera présent dans toutes les têtes lors du rassemblement solidaire prévu ce vendredi 18 novembre devant l’usine Still avec Jean-Luc Mélenchon et Marie-George Buffet.
Thierry Aury secrétaire départemental du PCF Oise
samedi 7 janvier 2012
Maître Jean-François TORELLI : plus blanc que blanc ??? ;-))))))
Actualité
vendredi 17 juillet 2009
Le liquidateur judiciaire doit rendre 120.000 euros aux Anglais ruinés
David Cook (à gauche), ici avec l'un de ses fils Luc, attend maintenant la restitution des 120.000 euros avancés par son père il y a cinq ans • photo Romain Perrocheau
Raymond Cook voulait racheter l'immeuble de son fils, en faillite. Maître Torelli avait bloqué la somme. La cour d'appel vient de casser le jugement du tribunal de commerce
Maurice BONTINCK
Petite devinette. Quelle est l'expression à mi-chemin entre «Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras» et «Donner c'est donner, reprendre c'est voler»? Réponse: «Donner et retenir ne vaut», ce qui est aujourd'hui écrit noir sur blanc sur le jugement du tribunal de commerce d'Angoulême, signé par la présidente de l'audience, Annie Enixon, le 18 septembre 2008, à propos de «l'affaire Cook». L'entreprise de cette famille anglaise de Charente, avait été liquidée en mai 2001. «Donner et retenir ne vaut» a permis au tribunal de commerce de donner le droit à Me Jean-François Torelli, le liquidateur de l'affaire, de continuer à bloquer sur un compte 120.000 euros déboursés par le père de David Cook fin 2004.
Requête «recevable mais mal fondée» selon le tribunal
A l'origine de cette bataille judiciaire qui débute en février 2006, la volonté de Raymond Cook d'aider son fils à rester dans sa maison de Condac avec sa femme et ses deux enfants de 19 ans. Le vieil homme, aujourd'hui âgé de 84 ans et qui vit toujours en Angleterre, rassemble alors une partie de ses économies pour se proposer de racheter la maison, deux jours avant la vente aux enchères prévue par le liquidateur le 1er décembre 2004. Raymond Cook avait même donné un pouvoir à son avocate pour participer aux enchères au cas où la vente aurait été maintenue. Mais au final, les 120.000 euros ne serviront pas à racheter l'immeuble. La somme, venue d'une banque anglaise et versée sur le compte du conseil de Me Torelli comme l'avait demandé ce dernier, restera bloquée et la vente aux enchères ne se fera jamais.
«Donner et retenir ne vaut», une expression venue du Moyen Age qui dit en substance qu'une donation est irrévocable. Le tribunal de commerce avait trouvé la parade pour ne pas donner suite à cette requête «recevable mais mal fondée» des Cook. «Un adage qui manifestement ne résulte d'aucune loi, si ce n'est celle du tribunal de commerce d'Angoulême», écrira Me Sonia Aimard-Loubère pour proposer «bien évidemment» à son client de faire appel.
Neuf mois plus tard, la cour d'appel de Bordeaux infirme totalement le jugement du tribunal de commerce angoumoisin. Me Torelli a été condamné le 23 juin dernier à «restituer» 120.000 euros au père de David Cook. Il doit également payer 5.000 euros pour les frais de justice.
Si le tribunal de commerce lui avait donné raison en première instance, Me Torelli, lui, ne s'était pas appuyé sur des «adages», mais sur des arguments de forme pour ne pas restituer cette somme. Ses avocats estimeront par exemple que M. Cook père n'a pas explicitement précisé qu'il voulait acheter l'immeuble, mais que son but était «d'apurer le passif de la procédure collective de son fils». Le liquidateur estimait que les 120.000 euros serviraient à combler le passif de la famille Cook, même si l'argent venait du père qui n'est pas concerné par la procédure de liquidation. Même si la somme avait été enregistrée sous un code «vente immobilière» par Me Torelli.
«Raymond Cook n'est pas un fantôme»
D'autres explications parfois étonnantes avaient été mises en avant. L'opposition de Raymond Cook serait irrecevable parce que ses coordonnées exactes n'auraient pas été précisées, empêchant «de vérifier si Raymond Cook était toujours vivant». Autant d'arguments balayés parfois ironiquement par la cour d'appel de Bordeaux, qui a par exemple estimé que «Raymond Cook est régulièrement identifié, ce qui permet au mandataire judiciaire de s'assurer qu'il n'est pas poursuivi par un fantôme».
Les Cook ont enfin gagné une partie au milieu d'une vie où ils ont tout perdu. Depuis un an et demi, David et Carla Cook sont au RMI, dans une maison qui ne leur appartient plus, qui a connu un incendie en 2006, avec des coupures régulières d'eau.
Depuis vingt ans, la famille Cook s'est installée en Charente. Depuis presque dix ans, elle est dessaisie de la disposition de ses biens, en application de l'article L.622 du code de commerce. Avec une entreprise en faillite, leur vie est alors entre les mains d'un liquidateur, chargé d'apurer le passif estimé à 160.000 euros et de faire valoir les droits des créanciers de David Cook, en particulier le Trésor public. Ce versant-là de l'affaire est encore loin d'être terminé. Mais ces 120.000 euros, c'est toujours ça que les Français n'auront pas.
Maurice BONTINCK
Charente Libre
22-11-2009
vendredi 17 juillet 2009
Le liquidateur judiciaire doit rendre 120.000 euros aux Anglais ruinés
David Cook (à gauche), ici avec l'un de ses fils Luc, attend maintenant la restitution des 120.000 euros avancés par son père il y a cinq ans • photo Romain Perrocheau
Raymond Cook voulait racheter l'immeuble de son fils, en faillite. Maître Torelli avait bloqué la somme. La cour d'appel vient de casser le jugement du tribunal de commerce
Maurice BONTINCK
Petite devinette. Quelle est l'expression à mi-chemin entre «Un tiens vaut mieux que deux tu l'auras» et «Donner c'est donner, reprendre c'est voler»? Réponse: «Donner et retenir ne vaut», ce qui est aujourd'hui écrit noir sur blanc sur le jugement du tribunal de commerce d'Angoulême, signé par la présidente de l'audience, Annie Enixon, le 18 septembre 2008, à propos de «l'affaire Cook». L'entreprise de cette famille anglaise de Charente, avait été liquidée en mai 2001. «Donner et retenir ne vaut» a permis au tribunal de commerce de donner le droit à Me Jean-François Torelli, le liquidateur de l'affaire, de continuer à bloquer sur un compte 120.000 euros déboursés par le père de David Cook fin 2004.
Requête «recevable mais mal fondée» selon le tribunal
A l'origine de cette bataille judiciaire qui débute en février 2006, la volonté de Raymond Cook d'aider son fils à rester dans sa maison de Condac avec sa femme et ses deux enfants de 19 ans. Le vieil homme, aujourd'hui âgé de 84 ans et qui vit toujours en Angleterre, rassemble alors une partie de ses économies pour se proposer de racheter la maison, deux jours avant la vente aux enchères prévue par le liquidateur le 1er décembre 2004. Raymond Cook avait même donné un pouvoir à son avocate pour participer aux enchères au cas où la vente aurait été maintenue. Mais au final, les 120.000 euros ne serviront pas à racheter l'immeuble. La somme, venue d'une banque anglaise et versée sur le compte du conseil de Me Torelli comme l'avait demandé ce dernier, restera bloquée et la vente aux enchères ne se fera jamais.
«Donner et retenir ne vaut», une expression venue du Moyen Age qui dit en substance qu'une donation est irrévocable. Le tribunal de commerce avait trouvé la parade pour ne pas donner suite à cette requête «recevable mais mal fondée» des Cook. «Un adage qui manifestement ne résulte d'aucune loi, si ce n'est celle du tribunal de commerce d'Angoulême», écrira Me Sonia Aimard-Loubère pour proposer «bien évidemment» à son client de faire appel.
Neuf mois plus tard, la cour d'appel de Bordeaux infirme totalement le jugement du tribunal de commerce angoumoisin. Me Torelli a été condamné le 23 juin dernier à «restituer» 120.000 euros au père de David Cook. Il doit également payer 5.000 euros pour les frais de justice.
Si le tribunal de commerce lui avait donné raison en première instance, Me Torelli, lui, ne s'était pas appuyé sur des «adages», mais sur des arguments de forme pour ne pas restituer cette somme. Ses avocats estimeront par exemple que M. Cook père n'a pas explicitement précisé qu'il voulait acheter l'immeuble, mais que son but était «d'apurer le passif de la procédure collective de son fils». Le liquidateur estimait que les 120.000 euros serviraient à combler le passif de la famille Cook, même si l'argent venait du père qui n'est pas concerné par la procédure de liquidation. Même si la somme avait été enregistrée sous un code «vente immobilière» par Me Torelli.
«Raymond Cook n'est pas un fantôme»
D'autres explications parfois étonnantes avaient été mises en avant. L'opposition de Raymond Cook serait irrecevable parce que ses coordonnées exactes n'auraient pas été précisées, empêchant «de vérifier si Raymond Cook était toujours vivant». Autant d'arguments balayés parfois ironiquement par la cour d'appel de Bordeaux, qui a par exemple estimé que «Raymond Cook est régulièrement identifié, ce qui permet au mandataire judiciaire de s'assurer qu'il n'est pas poursuivi par un fantôme».
Les Cook ont enfin gagné une partie au milieu d'une vie où ils ont tout perdu. Depuis un an et demi, David et Carla Cook sont au RMI, dans une maison qui ne leur appartient plus, qui a connu un incendie en 2006, avec des coupures régulières d'eau.
Depuis vingt ans, la famille Cook s'est installée en Charente. Depuis presque dix ans, elle est dessaisie de la disposition de ses biens, en application de l'article L.622 du code de commerce. Avec une entreprise en faillite, leur vie est alors entre les mains d'un liquidateur, chargé d'apurer le passif estimé à 160.000 euros et de faire valoir les droits des créanciers de David Cook, en particulier le Trésor public. Ce versant-là de l'affaire est encore loin d'être terminé. Mais ces 120.000 euros, c'est toujours ça que les Français n'auront pas.
Maurice BONTINCK
Charente Libre
22-11-2009
vendredi 6 janvier 2012
Une justice parallèle !
LES DEUX JUSTICES DE LA FRANCE Une première justice honnête de façade pour le bon peuple, où les acteurs du système police justice et auxiliaires se démènent en appliquant au mieux la législation en fonction des circonstances et selon les moyens. Une deuxième justice parallèle sans aucune règle.
Des témoignages de victimes de cette justice qui n'en a que le nom , mais qui ne signifie plus rien .
Un soulèvement du peuple spolié qui n'en peut plus se précise de jours en jours.
2012 SERA DECISIF .
Une justice parallèle par latelevisionpaysanne
Le proces de la mafia Grenobloise par latelevisionpaysanne
Le proces de la mafia Grenobloise par latelevisionpaysanne
Vidéo torpillée!
Des témoignages de victimes de cette justice qui n'en a que le nom , mais qui ne signifie plus rien .
Un soulèvement du peuple spolié qui n'en peut plus se précise de jours en jours.
2012 SERA DECISIF .
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Le proces de la mafia Grenobloise par latelevisionpaysanne
Le proces de la mafia Grenobloise par latelevisionpaysanne
Vidéo torpillée!
mercredi 4 janvier 2012
mardi 3 janvier 2012
COMBIEN SOMMES NOUS DE VICTIMES EN FRANCE ???
VICTIMES : des dizaines, non des centaines , non DES MILLIONS !!!!!
dimanche 1 janvier 2012
ALLO...ALLO .... JUSTICE ......
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