dimanche 7 novembre 2010

ENCORE UN SCANDALE DES TRIBUNAUX DE COMMERCE !!!

Voilà comment en FRANCE on détruit des FAMILLES ENTIERES !!!!!!

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Deux affaires comparables, datant de la même période (1994), mais qui ne sont pas traitées de la même façon !!

Alors qu’il était à la tête d’un groupe de sociétés, Rizziero PALUSCI a été mis en liquidation judicaire suite à des erreurs commises par l’Administration Fiscale lors d’un contrôle intervenu peu de temps après qu’il ait engagé une procédure contre le Crédit Lyonnais ….

Son groupe, GYMNASIUM, qu’il avait créé en 1971, avait permis, indirectement, la création de plus de 600 emplois.

Après 14 années de procédure et, alors que tous leurs biens ont été vendus à l’exception de leur maison d’habitation, son épouse a proposé au Ministre du Budget une transaction plus qu’équitable : abandon d’une procédure en responsabilité contre l’Etat en échange de l’abandon d’un reliquat d’impôt.

Cette transaction lui a été refusée.

Aujourd’hui leur domicile risque d’être mis en vente et ceci, avant même l’issue de la procédure en responsabilité, sans parler de leur préjudice moral qui est analogue à celui subi par Bernard TAPIE.

Il y a donc deux poids deux mesures !!!

crée en 1971 à Brest par un kinésithérapeute ,Rizziéro Palusci,le groupe Gymnasium fait ses débuts en Bretagne,puis essaime sur l'ensemble de la France .


Mr BERNARD TAPIE DONNEZ NOUS VOTRE RECETTE ?


L’ancien banquier (diplômé HEC) spécialisé dans la reprise d’entreprises en difficulté, s’est ainsi laissé séduire par l’outil de travail -9 centres dans Paris intra muros- et s’emploie à redorer le blason d’une maison dont il va même changer le nom. Il a des idées et de la volonté, il en aura besoin





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et il le sait.
Depuis le premier février 2002, Jean-Pierre Bibé est officiellement le patron de Gymnasium. Le Président de la SAS Société Européenne de Loisirs a, effectivement, racheté (150.000 euros) les 9 centres de la capitale devant Tribunal de Commerce, alors qu’au moment de la liquidation judiciaire il en restait 16 (9 dans Paris, les autres en banlieue). Sept fermetures qui ont fait grincer des dents puisque les adhérents, souvent «coincés» avec un abonnement contracté à crédit, se retrouvaient sans salle, mais avec des mensualités à rembourser.


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